La compétition pour le poste de président de la Réserve fédérale s'intensifie soudainement. Selon des sources de l'équipe de Trump, le 17 décembre, il passera un entretien avec le membre actuel du Conseil de la Réserve fédérale, Waller — ce qui bouleverse complètement l'attente précédente d'un scénario « à deux ».
Auparavant, tout le monde pensait que Kevin Warsh et Kevin Hassett étaient en lice, mais Waller est apparu de nulle part. Sur quoi repose la candidature de ce membre du Conseil comme un poids lourd ? La clé réside dans son attitude politique.
Depuis le début de cette année, Waller est le plus fervent défenseur d’une politique de baisse des taux au sein de la Fed. Dès la réunion de juillet, seul lui a voté contre la majorité, plaidant pour une baisse immédiate des taux. Ce n’est pas une déclaration à la légère : sa logique de baisse est très claire, et même le président actuel, Powell, a par la suite repris plusieurs de ses points de vue dans ses discours. La Wall Street et la communauté des économistes ont également une bonne opinion de lui, estimant qu’il pourrait combler les divisions internes à la Fed sur la politique.
Ce qui est intéressant, c’est que cet entretien est prévu avant le discours important de Waller sur les perspectives économiques. En d’autres termes, ses déclarations publiques influenceront directement la perception du marché concernant cet entretien.
En résumé, le choix du prochain président de la Fed revient en réalité à décider de l’orientation de la politique monétaire américaine. Faut-il privilégier une approche modérée et dovish, ou y a-t-il d’autres considérations ? Cela concerne directement l’environnement des taux après 2026. Pour les investisseurs en actifs, ce choix influencera l’environnement de liquidité, et par conséquent la performance de divers actifs. Si Waller prend la tête, la façon dont le marché intègre les attentes de baisse des taux pourrait être considérablement modifiée.
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PessimisticOracle
· 12-17 04:50
Les attentes en matière de taux d'intérêt sont importantes
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SerumSquirter
· 12-17 04:32
Les partisans de la baisse des taux vont passer à l'action
La compétition pour le poste de président de la Réserve fédérale s'intensifie soudainement. Selon des sources de l'équipe de Trump, le 17 décembre, il passera un entretien avec le membre actuel du Conseil de la Réserve fédérale, Waller — ce qui bouleverse complètement l'attente précédente d'un scénario « à deux ».
Auparavant, tout le monde pensait que Kevin Warsh et Kevin Hassett étaient en lice, mais Waller est apparu de nulle part. Sur quoi repose la candidature de ce membre du Conseil comme un poids lourd ? La clé réside dans son attitude politique.
Depuis le début de cette année, Waller est le plus fervent défenseur d’une politique de baisse des taux au sein de la Fed. Dès la réunion de juillet, seul lui a voté contre la majorité, plaidant pour une baisse immédiate des taux. Ce n’est pas une déclaration à la légère : sa logique de baisse est très claire, et même le président actuel, Powell, a par la suite repris plusieurs de ses points de vue dans ses discours. La Wall Street et la communauté des économistes ont également une bonne opinion de lui, estimant qu’il pourrait combler les divisions internes à la Fed sur la politique.
Ce qui est intéressant, c’est que cet entretien est prévu avant le discours important de Waller sur les perspectives économiques. En d’autres termes, ses déclarations publiques influenceront directement la perception du marché concernant cet entretien.
En résumé, le choix du prochain président de la Fed revient en réalité à décider de l’orientation de la politique monétaire américaine. Faut-il privilégier une approche modérée et dovish, ou y a-t-il d’autres considérations ? Cela concerne directement l’environnement des taux après 2026. Pour les investisseurs en actifs, ce choix influencera l’environnement de liquidité, et par conséquent la performance de divers actifs. Si Waller prend la tête, la façon dont le marché intègre les attentes de baisse des taux pourrait être considérablement modifiée.