Hier soir, les données américaines ont été publiées, le taux de chômage de novembre a bondi à 4.6 %, ce qui est un niveau élevé peu vu ces dernières années. Dès que la nouvelle a été diffusée, le marché s’est immédiatement animé, la probabilité d’une baisse de taux en janvier prochain a fortement augmenté. On dirait que le marché des cryptomonnaies va décoller ? Attendez, ce n’est peut-être pas aussi simple qu’il y paraît.
En apparence, la hausse du taux de chômage rend effectivement une baisse de taux plus probable. C’est comme lorsque vous avez faim et que vous sentez soudain l’odeur du canard rôti — l’espoir est à portée de main. Mais il y a un point crucial : la banque centrale ne va pas encore vraiment mettre cette "repas" sur la table. Les déclarations officielles précédentes ont été très claires : la volatilité des données mensuelles ne suffit pas à faire changer la politique immédiatement, d’autant plus que le marché de l’emploi reste globalement résilient. En résumé : "Le gâteau est en train de cuire, mais il faut encore attendre un peu pour le manger."
Ainsi, la réaction du marché devient très intéressante. En voyant cet espoir, on confirme plutôt que "ce n’est pas pour tout de suite". Dans ce rythme modéré, les grandes institutions et les capitaux principaux n’interviendront généralement pas impulsivement, préférant observer — ils attendent des signaux plus clairs, comme la performance économique après le printemps, ou la confirmation que l’inflation continue de baisser.
Pour les investisseurs, la logique du marché à ce stade devient : "Des attentes mais pas de catalyseur direct." Le marché pourrait même connaître des fluctuations temporaires dues à la bataille des capitaux et à l’ajustement des positions. Ce n’est pas du tout le bon moment pour acheter à la hausse, mais plutôt une période pour peaufiner sa stratégie.
Que faire alors ? Ne misez pas tout, concentrez-vous sur deux actions : premièrement, garder des réserves pour construire progressivement votre position, en contrôlant le rythme et en évitant d’investir tout d’un coup ; deuxièmement, continuer à surveiller les nouveaux signaux macroéconomiques…
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WalletDoomsDay
· Il y a 19h
Encore une blague sur le canard, je savais que cette baisse de taux ne serait pas si rapide, les grandes institutions attendent toutes un signal.
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StakoorNeverSleeps
· Il y a 19h
La tarte est encore en train de cuire, les gars, ne vous précipitez pas pour monter à bord, cette vague n'est que le prélude à un lavage de marché par les institutions
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MoneyBurner
· Il y a 20h
Le gâteau n'est pas encore mis sur la table, faut-il encore attendre le printemps ? Frère, je comprends cette logique, mais j'ai déjà perdu patience avec les stocks physiques qui ont chuté, si je continue à attendre, je vais devoir couper mes pertes.
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MidsommarWallet
· Il y a 20h
La tarte est en train de cuire mais il faut encore attendre, cette vague peut facilement être coupée.
Hier soir, les données américaines ont été publiées, le taux de chômage de novembre a bondi à 4.6 %, ce qui est un niveau élevé peu vu ces dernières années. Dès que la nouvelle a été diffusée, le marché s’est immédiatement animé, la probabilité d’une baisse de taux en janvier prochain a fortement augmenté. On dirait que le marché des cryptomonnaies va décoller ? Attendez, ce n’est peut-être pas aussi simple qu’il y paraît.
En apparence, la hausse du taux de chômage rend effectivement une baisse de taux plus probable. C’est comme lorsque vous avez faim et que vous sentez soudain l’odeur du canard rôti — l’espoir est à portée de main. Mais il y a un point crucial : la banque centrale ne va pas encore vraiment mettre cette "repas" sur la table. Les déclarations officielles précédentes ont été très claires : la volatilité des données mensuelles ne suffit pas à faire changer la politique immédiatement, d’autant plus que le marché de l’emploi reste globalement résilient. En résumé : "Le gâteau est en train de cuire, mais il faut encore attendre un peu pour le manger."
Ainsi, la réaction du marché devient très intéressante. En voyant cet espoir, on confirme plutôt que "ce n’est pas pour tout de suite". Dans ce rythme modéré, les grandes institutions et les capitaux principaux n’interviendront généralement pas impulsivement, préférant observer — ils attendent des signaux plus clairs, comme la performance économique après le printemps, ou la confirmation que l’inflation continue de baisser.
Pour les investisseurs, la logique du marché à ce stade devient : "Des attentes mais pas de catalyseur direct." Le marché pourrait même connaître des fluctuations temporaires dues à la bataille des capitaux et à l’ajustement des positions. Ce n’est pas du tout le bon moment pour acheter à la hausse, mais plutôt une période pour peaufiner sa stratégie.
Que faire alors ? Ne misez pas tout, concentrez-vous sur deux actions : premièrement, garder des réserves pour construire progressivement votre position, en contrôlant le rythme et en évitant d’investir tout d’un coup ; deuxièmement, continuer à surveiller les nouveaux signaux macroéconomiques…