#数字资产市场洞察 Le marché de l'emploi américain a connu un frein brutal. Le taux de chômage de novembre a grimpé à 4,6 %, un niveau que l'on n'avait pas vu depuis septembre 2021, soit plus de quatre ans. Mauvaise nouvelle ? Absolument.
En réalité, l'emploi aux États-Unis est resté plutôt solide au cours de ces quatre années, le taux de chômage ayant progressivement diminué après la pandémie. Mais cette dernière vague a non seulement inversé cette tendance, mais a aussi atteint un nouveau sommet. Où est le problème ? Les secteurs traditionnels comme la fabrication et la vente au détail commencent à réduire leurs recrutements, les entreprises multiplient les licenciements, et le nombre de nouveaux emplois ne suffit pas à répondre à la demande du marché du travail.
Pour le citoyen lambda, cela signifie quoi ? Il devient plus difficile de trouver un emploi, la stabilité des revenus est remise en question, et le désir de consommer est refroidi.
Ce qui est intéressant, c'est que la Réserve fédérale se trouve maintenant dans une situation de dilemme — continuer à resserrer la politique monétaire pour maîtriser l'inflation, ce qui pourrait continuer à freiner la vigueur de l'économie et faire grimper le taux de chômage ; ou bien relâcher la pression pour stimuler l'emploi, au risque de faire repartir l'inflation. Le classique dilemme entre le beurre et l'argent du beurre.
Les acteurs du marché scrutent désormais les prochains chiffres de l'emploi et les signaux politiques. Ce taux de 4,6 % est-il une fluctuation à court terme ou le nouveau normal ? Il faudra attendre pour le savoir. Cette incertitude elle-même pourrait avoir un impact sur les prix des actifs, peut-être plus important que celui d'une seule donnée.
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AirdropBlackHole
· 12-17 07:52
Oh là là, les États-Unis commencent à couper l'herbe, le taux de chômage, ce chiffre ne serait pas vraiment vrai, n'est-ce pas ?
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TheMemefather
· 12-17 07:48
Ça recommence, la Réserve fédérale est vraiment coincée au milieu, peu importe le choix, c'est la mort
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GasFeeCrier
· 12-17 07:47
La Réserve fédérale est vraiment coincée, l'assouplissement monétaire fait décoller l'inflation, ne pas relâcher la pression et le chômage continue de grimper... On ne peut plus vivre comme ça.
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MetaverseHermit
· 12-17 07:46
Maman, la vague de licenciements est vraiment arrivée, même les Américains ne peuvent plus supporter.
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SignatureAnxiety
· 12-17 07:41
Encore une fois, ils coupent les récoltes, le taux de chômage de 4,6 % n'est que le début, le grand marché A chute avec le marché américain et doit encore chuter
#数字资产市场洞察 Le marché de l'emploi américain a connu un frein brutal. Le taux de chômage de novembre a grimpé à 4,6 %, un niveau que l'on n'avait pas vu depuis septembre 2021, soit plus de quatre ans. Mauvaise nouvelle ? Absolument.
En réalité, l'emploi aux États-Unis est resté plutôt solide au cours de ces quatre années, le taux de chômage ayant progressivement diminué après la pandémie. Mais cette dernière vague a non seulement inversé cette tendance, mais a aussi atteint un nouveau sommet. Où est le problème ? Les secteurs traditionnels comme la fabrication et la vente au détail commencent à réduire leurs recrutements, les entreprises multiplient les licenciements, et le nombre de nouveaux emplois ne suffit pas à répondre à la demande du marché du travail.
Pour le citoyen lambda, cela signifie quoi ? Il devient plus difficile de trouver un emploi, la stabilité des revenus est remise en question, et le désir de consommer est refroidi.
Ce qui est intéressant, c'est que la Réserve fédérale se trouve maintenant dans une situation de dilemme — continuer à resserrer la politique monétaire pour maîtriser l'inflation, ce qui pourrait continuer à freiner la vigueur de l'économie et faire grimper le taux de chômage ; ou bien relâcher la pression pour stimuler l'emploi, au risque de faire repartir l'inflation. Le classique dilemme entre le beurre et l'argent du beurre.
Les acteurs du marché scrutent désormais les prochains chiffres de l'emploi et les signaux politiques. Ce taux de 4,6 % est-il une fluctuation à court terme ou le nouveau normal ? Il faudra attendre pour le savoir. Cette incertitude elle-même pourrait avoir un impact sur les prix des actifs, peut-être plus important que celui d'une seule donnée.