#美国证券交易委员会推进数字资产监管框架创新 L'attitude réglementaire est en train de changer. La SEC américaine n'est plus uniquement "axée sur l'application de la loi", mais commence à faire preuve de bonne volonté en matière d'innovation — ce signal se devine à travers la série d'actions du Project Crypto.
**Les trois piliers du changement clé**
Le Project Crypto, dirigé par le président de la SEC Atkins, a été lancé officiellement en janvier 2026, avec une logique claire : par le biais de la classification des tokens, des exemptions d'innovation, et de mécanismes de sortie clairs, sortir les projets conformes du marasme de la régulation des valeurs mobilières.
La classification des tokens est la première étape. Tous les tokens ne doivent pas être régulés comme des valeurs mobilières. Les trois grandes catégories — biens numériques, fonctionnels, et de collection — peuvent totalement s’affranchir du cadre des valeurs mobilières — seules les tokens dont le profit dépend entièrement de la gestion d’autrui suivent la voie des valeurs mobilières. En d’autres termes, les projets suffisamment décentralisés ont désormais une chance de survie.
Le sandbox d’exemptions d’innovation est la deuxième étape. Les projets conformes peuvent bénéficier d’un traitement simplifié de divulgation pendant 12 à 24 mois, et si la décentralisation est solide (une seule adresse détient ≤10%), cette période peut être prolongée à 36 mois. Mais le seuil n’est pas faible : la gouvernance doit être dispersée, faire l’objet d’une double vérification, l’architecture doit être non dépositaire, et l’historique doit être irréprochable. Cela revient à dire — je vous donne une chance, mais vous devez prouver votre sérieux.
La tokenisation d’actifs est la troisième étape, et c’est aussi la clé pour relier TradFi et DeFi. Le 11 décembre, la SEC a délivré une lettre d’absence d’objection à DTC, permettant la tokenisation d’actions, d’obligations, voire de bons du Trésor américains dans un environnement contrôlé, avec une mise en service prévue pour le second semestre 2026, en période d’essai pendant trois ans. Cela signifie que les actifs tokenisés bénéficieront des mêmes droits et protections que les actifs traditionnels. Imaginez — à l’avenir, vos bons du Trésor américains tokenisés seront protégés par la loi aussi efficacement que les bons papier.
**Les infrastructures en cours de développement**
La question de la garde des actifs a toujours été une préoccupation pour l’entrée des institutions. Le 3 décembre, la SEC a publié un guide sur la garde des actifs cryptographiques, clarifiant les risques liés à la garde autonome et à la garde par des tiers. Plus récemment, le 30 septembre, la reconnaissance a permis aux sociétés de fiducie agréées par l’État d’agir en tant que gardiens qualifiés, ouvrant la voie à une garde réglementée pour les fonds institutionnels.
La coordination inter-agences progresse également. La SEC et la CFTC travaillent à clarifier leurs compétences respectives, en collaboration avec la législation du CLARITY Act, pour définir leurs domaines d’intervention. Le 15 décembre, une table ronde sur la confidentialité a été organisée, abordant la faisabilité réglementaire des technologies de confidentialité telles que la preuve à divulgation zéro et le chiffrement homomorphe. Cela signifie — nous réfléchissons aussi à la conformité des nouvelles technologies.
**Qui pourra survivre ?**
Pour bénéficier des exemptions, il faut remplir plusieurs conditions : décentralisation (gouvernance dispersée, une seule adresse détient ≤10%, taux de vote ≥30%, plus de 90% de décentralisation pour bénéficier des exemptions maximales), double certification technique et d’audit, architecture non dépositaire, et absence d’antécédents de violations réglementaires ou de blanchiment d’argent. Les projets anonymes et les entités fictives sont directement exclus.
La logique sous-jacente est : nous ne sommes pas opposés à l’innovation, mais elle doit être ordonnée, transparente, et décentralisée. Pour les projets, c’est à la fois une opportunité et un filtre — ceux qui sont conformes bénéficieront d’un environnement relativement favorable, mais la marge pour la fraude sera réduite au minimum.
Le tournant est déjà là. 2026 sera une année clé.
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PancakeFlippa
· Il y a 15h
Attendez, la SEC a vraiment changé de ton ? On dirait qu'ils font juste de la communication pour faire rêver
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CommunityLurker
· Il y a 15h
Putain, ça y est, ça arrive vraiment ? La SEC a vraiment ouvert la fenêtre, pas pour continuer à casser, hein.
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MemeCoinSavant
· Il y a 15h
selon ma première analyse statistique des modèles de dépôt auprès de la SEC (n=420, p<0.069), ce changement de paradigme est... en fait assez cool, je ne vais pas mentir. les métriques de décentralisation qu'ils proposent ont de véritables propriétés optimales en théorie des jeux, pas seulement du théâtre réglementaire 📊
#美国证券交易委员会推进数字资产监管框架创新 L'attitude réglementaire est en train de changer. La SEC américaine n'est plus uniquement "axée sur l'application de la loi", mais commence à faire preuve de bonne volonté en matière d'innovation — ce signal se devine à travers la série d'actions du Project Crypto.
**Les trois piliers du changement clé**
Le Project Crypto, dirigé par le président de la SEC Atkins, a été lancé officiellement en janvier 2026, avec une logique claire : par le biais de la classification des tokens, des exemptions d'innovation, et de mécanismes de sortie clairs, sortir les projets conformes du marasme de la régulation des valeurs mobilières.
La classification des tokens est la première étape. Tous les tokens ne doivent pas être régulés comme des valeurs mobilières. Les trois grandes catégories — biens numériques, fonctionnels, et de collection — peuvent totalement s’affranchir du cadre des valeurs mobilières — seules les tokens dont le profit dépend entièrement de la gestion d’autrui suivent la voie des valeurs mobilières. En d’autres termes, les projets suffisamment décentralisés ont désormais une chance de survie.
Le sandbox d’exemptions d’innovation est la deuxième étape. Les projets conformes peuvent bénéficier d’un traitement simplifié de divulgation pendant 12 à 24 mois, et si la décentralisation est solide (une seule adresse détient ≤10%), cette période peut être prolongée à 36 mois. Mais le seuil n’est pas faible : la gouvernance doit être dispersée, faire l’objet d’une double vérification, l’architecture doit être non dépositaire, et l’historique doit être irréprochable. Cela revient à dire — je vous donne une chance, mais vous devez prouver votre sérieux.
La tokenisation d’actifs est la troisième étape, et c’est aussi la clé pour relier TradFi et DeFi. Le 11 décembre, la SEC a délivré une lettre d’absence d’objection à DTC, permettant la tokenisation d’actions, d’obligations, voire de bons du Trésor américains dans un environnement contrôlé, avec une mise en service prévue pour le second semestre 2026, en période d’essai pendant trois ans. Cela signifie que les actifs tokenisés bénéficieront des mêmes droits et protections que les actifs traditionnels. Imaginez — à l’avenir, vos bons du Trésor américains tokenisés seront protégés par la loi aussi efficacement que les bons papier.
**Les infrastructures en cours de développement**
La question de la garde des actifs a toujours été une préoccupation pour l’entrée des institutions. Le 3 décembre, la SEC a publié un guide sur la garde des actifs cryptographiques, clarifiant les risques liés à la garde autonome et à la garde par des tiers. Plus récemment, le 30 septembre, la reconnaissance a permis aux sociétés de fiducie agréées par l’État d’agir en tant que gardiens qualifiés, ouvrant la voie à une garde réglementée pour les fonds institutionnels.
La coordination inter-agences progresse également. La SEC et la CFTC travaillent à clarifier leurs compétences respectives, en collaboration avec la législation du CLARITY Act, pour définir leurs domaines d’intervention. Le 15 décembre, une table ronde sur la confidentialité a été organisée, abordant la faisabilité réglementaire des technologies de confidentialité telles que la preuve à divulgation zéro et le chiffrement homomorphe. Cela signifie — nous réfléchissons aussi à la conformité des nouvelles technologies.
**Qui pourra survivre ?**
Pour bénéficier des exemptions, il faut remplir plusieurs conditions : décentralisation (gouvernance dispersée, une seule adresse détient ≤10%, taux de vote ≥30%, plus de 90% de décentralisation pour bénéficier des exemptions maximales), double certification technique et d’audit, architecture non dépositaire, et absence d’antécédents de violations réglementaires ou de blanchiment d’argent. Les projets anonymes et les entités fictives sont directement exclus.
La logique sous-jacente est : nous ne sommes pas opposés à l’innovation, mais elle doit être ordonnée, transparente, et décentralisée. Pour les projets, c’est à la fois une opportunité et un filtre — ceux qui sont conformes bénéficieront d’un environnement relativement favorable, mais la marge pour la fraude sera réduite au minimum.
Le tournant est déjà là. 2026 sera une année clé.