#美国就业数据表现强劲超出预期 Ce genre de sensation, je comprends.

À deux ou trois heures du matin, il n’y a que la lumière de l’écran dans la pièce. Les chandeliers oscillent un par un, mais les yeux deviennent de plus en plus brillants, la somnolence disparaît sans laisser de trace, et le cœur commence à battre de façon désordonnée.

J’attends, j’attends, et enfin une transaction arrive. Et le résultat ? Un retracement, toute la position est en perte totale, le salaire d’un mois disparaît comme ça.

À ce moment-là, ce n’est pas seulement la douleur de perdre de l’argent. Ce qui fait le plus mal, c’est cette voix qui répète dans la tête : suis-je vraiment fait pour ce marché ?

Il y a trop de personnes comme ça dans le monde des cryptos. De neuf heures à cinq heures, le jour, elles surveillent le marché, le soir, elles restent devant leur écran, le week-end, elles analysent leurs transactions. En apparence, tout le monde se donne à fond. Mais en regardant le compte ? Les chiffres ne bougent pas d’un pouce, voire ils descendent encore plus en s’agitant.

L’effort suffit-il vraiment ?

Non. Le problème principal, c’est d’avoir choisi la mauvaise direction.

Beaucoup de traders considèrent cette activité comme un travail physique — regarder le marché, passer des ordres, opérer — tant qu’ils sont assez assidus, le marché finira par récompenser. Ça semble logique, mais la réalité est souvent dure.

Chaque chandelle que tu surveilles, en fait, amplifie ton anxiété ; chaque opération de suivi de tendance que tu fais, ronge lentement ton capital et ton mental.

Le plus effrayant, ce n’est pas une seule perte. Le vrai cauchemar, c’est de tout perdre et de ne pas vouloir partir. Parce que ces nuits blanches, cet investissement d’énergie, tu as déjà payé trop cher. Abandonner ? Pas question. Alors tu continue à veiller tard, à prendre des positions importantes, à fantasmer sur la prochaine vague de marché qui pourrait tout renverser.

Et comme ça, le cercle vicieux est complètement verrouillé.

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