À partir du 1er janvier 2026, les banques nigérianes imposeront un droit de timbre de N50 sur chaque transfert de fonds supérieur à N10 000. Cette nouvelle structure tarifaire soulève des questions sur le coût de friction dans les canaux bancaires traditionnels. Lorsque les envois de fonds deviennent coûteux via les voies conventionnelles, les utilisateurs recherchent naturellement des alternatives—solutions peer-to-peer, stablecoins sur des réseaux blockchain, et méthodes de transfert décentralisées deviennent soudainement plus attractives. La démarche reflète la manière dont les systèmes hérités accumulent des coûts de conformité, qui finissent par être répercutés sur les utilisateurs quotidiens. Les marchés avec des frais de transfert élevés voient souvent une adoption plus rapide de la cryptomonnaie. À suivre de près pour voir comment cela se déroule dans la plus grande économie d'Afrique.
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GateUser-7b078580
· Il y a 10h
Les données montrent que les canaux traditionnels finiront par s'effondrer, cette opération au Nigeria peut être considérée comme un catalyseur
Patientez encore un peu, le point le plus bas n'est pas encore atteint, la règle observée est que plus les frais sont élevés, plus le taux d'adoption est rapide
Mais en même temps, les frais de gas sont aussi difficiles à payer, c'est très contradictoire
Un mécanisme irrationnel pousse des substituts irrationnels, c'est comme ça
En comptant le coût des transferts par heure, la blockchain devient en fait plus rentable... c'est ironique
Les utilisateurs au Nigeria doivent cette fois bien voir à quel point le système legacy est mauvais
Les banques traditionnelles facturent comme du dentifrice, les gens finissent naturellement par se tourner vers la chaîne, c'est une question de temps
Une fois la structure des frais ajustée, les données d'adoption changeront, surveillez bien les points de données
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memecoin_therapy
· Il y a 10h
Cette manœuvre au Nigeria, c'est carrément une façon détournée de pousser la crypto, si les frais continuent comme ça, qui utilisera encore les banques...
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RunWhenCut
· Il y a 10h
Le Nigeria se met encore dans une mauvaise posture, avec cette nouvelle vague de frais, les stablecoins devraient décoller.
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SmartContractPlumber
· Il y a 10h
Cette opération au Nigeria... un exemple typique de système hérité creusant sa propre tombe, le coût de conformité finissant toujours par être supporté par les utilisateurs. Pas étonnant que les gens se tournent vers des solutions en chaîne.
À partir du 1er janvier 2026, les banques nigérianes imposeront un droit de timbre de N50 sur chaque transfert de fonds supérieur à N10 000. Cette nouvelle structure tarifaire soulève des questions sur le coût de friction dans les canaux bancaires traditionnels. Lorsque les envois de fonds deviennent coûteux via les voies conventionnelles, les utilisateurs recherchent naturellement des alternatives—solutions peer-to-peer, stablecoins sur des réseaux blockchain, et méthodes de transfert décentralisées deviennent soudainement plus attractives. La démarche reflète la manière dont les systèmes hérités accumulent des coûts de conformité, qui finissent par être répercutés sur les utilisateurs quotidiens. Les marchés avec des frais de transfert élevés voient souvent une adoption plus rapide de la cryptomonnaie. À suivre de près pour voir comment cela se déroule dans la plus grande économie d'Afrique.