Celularity Inc. (Nasdaq : CELU), une société de médecine régénérative et cellulaire, a dévoilé des recherches révolutionnaires démontrant comment sa membrane amniotique humaine décellularisée, déshydratée et à triple couche (DDHAM-3L) peut servir de plateforme transformative pour le traitement des troubles de la surface oculaire. L’étude évaluée par des pairs, publiée le 29 mai 2025 dans Regenerative Engineering and Translational Medicine, marque une étape importante dans la convergence de la science des cellules souches et de l’ingénierie avancée des biomatériaux.
La science derrière cette avancée
La recherche collaborative entre Celularity et le laboratoire de la Dr Jessica M. Gluck à la North Carolina State University (NCSU) s’est concentrée sur un défi critique en ophtalmologie : la déficience en cellules souches limbales (LSCD), une condition où la capacité de régénération de l’œil est compromise. L’étude a évalué comment le DDHAM-3L pouvait soutenir les cellules souches limbales dérivées de cellules iPS (iPSC), qui offrent un potentiel immense pour restaurer la vision.
Au cours d’une investigation en laboratoire de sept jours, les cellules iPSC-LSC cultivées sur le DDHAM-3L ont montré une formation de feuillets cellulaires confluents avec des caractéristiques épithéliales typiques. De manière remarquable, les cellules implantées sur ce biomatériau ont présenté des taux de prolifération accélérés par rapport aux groupes témoins conventionnels — une constatation qui souligne la biocompatibilité et la fonctionnalité biologique du matériau.
Preuves de la nature stem et du potentiel régénératif
Le profilage de l’expression génique et protéique a révélé une surexpression de plusieurs marqueurs liés à la stemness, à la capacité d’auto-renouvellement et aux voies de différenciation épithéliale cornéenne. Ces signatures moléculaires valident la capacité du DDHAM-3L à être plus qu’un simple support structurel ; le matériau soutient activement les processus biologiques nécessaires à une régénération durable.
La Dr Jessica M. Gluck, auteure principale de la recherche, a souligné que « le DDHAM-3L offre une plateforme évolutive, prête à l’emploi pour la reconstruction de la surface oculaire tout en conservant la biocompatibilité essentielle à la traduction clinique. » Cette caractéristique prête-à-l’emploi répond à une limitation de longue date en médecine régénérative : la nécessité de solutions qui ne requièrent pas une personnalisation spécifique au patient tout en maintenant une efficacité thérapeutique.
Expansion au-delà de l’ophtalmologie
Robert J. Hariri, M.D., Ph.D., PDG et président de Celularity, a souligné que cette technologie dépasse largement le traitement des troubles oculaires. Les propriétés biologiques uniques du DDHAM-3L en font un système de livraison polyvalent applicable dans plusieurs domaines de la médecine régénérative. En combinant l’évolutivité de la technologie iPSC avec les performances robustes de ce biomatériau avancé, Celularity crée une plateforme flexible pour des thérapies cellulaires personnalisées.
La recherche confirme que l’architecture et la composition du DDHAM-3L facilitent non seulement l’adhésion et la prolifération cellulaire, mais aussi la préservation des propriétés essentielles de stemness permettant un bénéfice thérapeutique à long terme. Cette combinaison répond à deux défis fondamentaux qui ont historiquement limité l’adoption de la thérapie cellulaire : la cohérence de fabrication et la durabilité thérapeutique.
Traduction clinique et impact industriel
Pour les patients atteints de LSCD et de troubles de la surface oculaire associés, cette avancée représente un potentiel changement vers des options de traitement plus efficaces et accessibles. La nature standardisée du DDHAM-3L, dérivée du tissu placentaire postpartum, favorise un développement clinique rapide et une accessibilité plus large par rapport aux approches nécessitant une préparation spécifique au patient.
L’engagement de Celularity à faire progresser cette technologie reflète l’intersection croissante entre la biologie placentaire et la médecine régénérative. En exploitant les avantages biologiques inhérents au placenta postpartum et sa disponibilité naturelle, la société poursuit des solutions répondant à des besoins mondiaux de santé non satisfaits. La recherche publiée dans cette revue évaluée par des pairs renforce la base scientifique soutenant ces applications.
Ce développement positionne Celularity à l’avant-garde de l’innovation en biomatériaux, où la médecine cellulaire rencontre des solutions ingénierie pour restaurer la fonction et améliorer les résultats pour les patients dans plusieurs domaines thérapeutiques.
Voir l'original
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
La technologie de membrane amniotique à trois couches de Celularity révolutionne les possibilités de reconstruction de la surface oculaire
Celularity Inc. (Nasdaq : CELU), une société de médecine régénérative et cellulaire, a dévoilé des recherches révolutionnaires démontrant comment sa membrane amniotique humaine décellularisée, déshydratée et à triple couche (DDHAM-3L) peut servir de plateforme transformative pour le traitement des troubles de la surface oculaire. L’étude évaluée par des pairs, publiée le 29 mai 2025 dans Regenerative Engineering and Translational Medicine, marque une étape importante dans la convergence de la science des cellules souches et de l’ingénierie avancée des biomatériaux.
La science derrière cette avancée
La recherche collaborative entre Celularity et le laboratoire de la Dr Jessica M. Gluck à la North Carolina State University (NCSU) s’est concentrée sur un défi critique en ophtalmologie : la déficience en cellules souches limbales (LSCD), une condition où la capacité de régénération de l’œil est compromise. L’étude a évalué comment le DDHAM-3L pouvait soutenir les cellules souches limbales dérivées de cellules iPS (iPSC), qui offrent un potentiel immense pour restaurer la vision.
Au cours d’une investigation en laboratoire de sept jours, les cellules iPSC-LSC cultivées sur le DDHAM-3L ont montré une formation de feuillets cellulaires confluents avec des caractéristiques épithéliales typiques. De manière remarquable, les cellules implantées sur ce biomatériau ont présenté des taux de prolifération accélérés par rapport aux groupes témoins conventionnels — une constatation qui souligne la biocompatibilité et la fonctionnalité biologique du matériau.
Preuves de la nature stem et du potentiel régénératif
Le profilage de l’expression génique et protéique a révélé une surexpression de plusieurs marqueurs liés à la stemness, à la capacité d’auto-renouvellement et aux voies de différenciation épithéliale cornéenne. Ces signatures moléculaires valident la capacité du DDHAM-3L à être plus qu’un simple support structurel ; le matériau soutient activement les processus biologiques nécessaires à une régénération durable.
La Dr Jessica M. Gluck, auteure principale de la recherche, a souligné que « le DDHAM-3L offre une plateforme évolutive, prête à l’emploi pour la reconstruction de la surface oculaire tout en conservant la biocompatibilité essentielle à la traduction clinique. » Cette caractéristique prête-à-l’emploi répond à une limitation de longue date en médecine régénérative : la nécessité de solutions qui ne requièrent pas une personnalisation spécifique au patient tout en maintenant une efficacité thérapeutique.
Expansion au-delà de l’ophtalmologie
Robert J. Hariri, M.D., Ph.D., PDG et président de Celularity, a souligné que cette technologie dépasse largement le traitement des troubles oculaires. Les propriétés biologiques uniques du DDHAM-3L en font un système de livraison polyvalent applicable dans plusieurs domaines de la médecine régénérative. En combinant l’évolutivité de la technologie iPSC avec les performances robustes de ce biomatériau avancé, Celularity crée une plateforme flexible pour des thérapies cellulaires personnalisées.
La recherche confirme que l’architecture et la composition du DDHAM-3L facilitent non seulement l’adhésion et la prolifération cellulaire, mais aussi la préservation des propriétés essentielles de stemness permettant un bénéfice thérapeutique à long terme. Cette combinaison répond à deux défis fondamentaux qui ont historiquement limité l’adoption de la thérapie cellulaire : la cohérence de fabrication et la durabilité thérapeutique.
Traduction clinique et impact industriel
Pour les patients atteints de LSCD et de troubles de la surface oculaire associés, cette avancée représente un potentiel changement vers des options de traitement plus efficaces et accessibles. La nature standardisée du DDHAM-3L, dérivée du tissu placentaire postpartum, favorise un développement clinique rapide et une accessibilité plus large par rapport aux approches nécessitant une préparation spécifique au patient.
L’engagement de Celularity à faire progresser cette technologie reflète l’intersection croissante entre la biologie placentaire et la médecine régénérative. En exploitant les avantages biologiques inhérents au placenta postpartum et sa disponibilité naturelle, la société poursuit des solutions répondant à des besoins mondiaux de santé non satisfaits. La recherche publiée dans cette revue évaluée par des pairs renforce la base scientifique soutenant ces applications.
Ce développement positionne Celularity à l’avant-garde de l’innovation en biomatériaux, où la médecine cellulaire rencontre des solutions ingénierie pour restaurer la fonction et améliorer les résultats pour les patients dans plusieurs domaines thérapeutiques.